Comment succomber à la sodomie?
J’ai décidé d’aborder le sujet très discutable du plaisir anal.
Comme vous aujourd’hui, il y a de nombreuses années, je me suis posé la question de l’utilité de cette pratique.
J’avais déjà mon petit bouton de rose, mon vagin, un point G. C’est bon !
Vu la réputation des femmes à qui on touche la rondelle, je passe mon tour, non merci !
En plus, si cela venait à ce savoir. Franchement je n’avais à l’époque pas vraiment les arguments pour contrer.
La honte, les préjugés, les on-dit ; c’est douloureux, on ne prend pas de plaisir, c’est vraiment pour céder à son partenaire qui trouve un plaisir lubrique et s’attarde à revenir dans la phase anale !!
Et puis sujet clos, anatomiquement, on n’est pas constitué pour.
Venir frôler celui d’un homme encore moins, c’est sale.
Je me serais trompé à ce point sur son orientation, il est bi, pire irrécupérable, je ne pourrais combattre, il est homo ?
En comparaison,si on réfléchit à la question de ce qui est le plus sale dans la pratique sexuelle, mettre les doigts dans un trou lavé soit par une douche savonneuse ou un lavement est presque plus hygiénique que de sucer le sexe mais bon, c’est passé dans les mœurs contrairement à la sodomie.
Non, définitivement NON. Fontaine, je ne boirais pas de ton eau. Ce n’est pas pour moi.
Tous mes partenaires de l’époque qui ont tenté de me convaincre, ont fait chou blanc. J’avoue que leur insistance, très subtile, à tôt fait de produire l’effet inverse, déjà pas enclin à passer à l’acte j’avais l’impression d’être prude.
Le coup de grâce.
L’un d’entre eux, plus délicat n’a rien trouvé de mieux que de me dire puisque tu es indisposé on pourrait peut être tenter par derrière. J’ai vraiment envie de faire l’amour !
Manifestement, il lui fallait un fourreau pour réceptionner son sperme et qu’il se sente bien.
Le mâle en rut dans toute sa splendeur, incapable de s’abstenir.
Qu’est-ce qui m’a fait changer d’avis?
Une rencontre comme c’est souvent le cas. Un regard tendre et confiant. C’est l’impression que rien de mal ne pourrait arriver entre ses mains. Le déclic se fait, une discussion sur le sujet, toutes appréhensions posées. Le bon time in.
Je trouve que nous bénéficions d’un confort nous discutables en Europe, une relative autonomie quant à nos choix sexuels sitôt enlevés le congloméra de votre obédience.
Dans certains États des États-Unis ou dans certains pays musulmans, il en est tout autre, vous pourriez être emprisonné, flagellé ou pire tué pour vos choix.
C’est fou quand on y repense, ne pas pouvoir disposer de son corps comme bon vous semble !
Je reviens sur ma première fois contrairement à certaines de mes amies . Je dois dire même si je n’ai pas pris beaucoup de plaisir, la barrière psychologique n’étant pas encore tombée au moins je n’ai pas eu mal.
Une de mes amies, me racontais qu’ elle avait eu l’impression qu’on lui brûlait les entrailles.
Le mec était entré sans prévenir. Il l’avait prise en levrette et elle ne s’attendait pas à ce qu’il rentre là. Déception, trahison, il s’était servi d’elle. Elle n’avait jamais abordé le sujet. Et pour couronner le tout la phrase, qui tue « euh, t’as aimé soit pas si sainte ni touche »
- Oui, malheureusement ce modèle est monté en série !
La sodomie est un sujet sensible, carrément tabou qui a pour habitude d’effrayer bon nombre de femmes. Cependant, elle reste une pratique très courante et très appréciée surtout par les hommes. Il se pose donc un problème de diversité d’opinions sur le sujet entre les hommes et les femmes. Pour gagner ce bras de fer, ces derniers doivent nécessairement convaincre leurs partenaires du sexe opposé. Pourquoi les femmes s’opposent-elles à la sodomie et comment s’y prendre pour arriver à les convaincre ?
Pourquoi les femmes sont-elles réticentes face à la sodomie ?
Il est indispensable de connaître les raisons pour lesquelles les femmes réfutent la sodomie avant de chercher à leur faire changer d’avis. Les arguments avancés par ces dernières varient d’une femme à une autre, mais elles se rejoignent presque toutes.
La sodomie, considérée comme une pratique « sale »
La première raison pour laquelle les femmes ont l’habitude de s’opposer à la pénétration anale est liée au fait que ce type de pénétration est considéré comme sale dans la société. C’est d’ailleurs ce qui rend le sujet tabou.
Plusieurs considèrent que la pénétration anale est en réalité réservée aux acteurs porno et donc qu’elle donnerait une mauvaise image d’une femme qui s’y adonne. Les différents préjugés ont donc facilité le bannissement de la sodomie des pensées de la plupart des femmes.
La raison de la douleur causée par la pénétration
Il faut aussi noter que les femmes avancent très souvent l’argument de la douleur. Étant donné que l’anus n’est pas à la base l’orifice dédié à la pénétration, cette dernière pourrait causer pas mal de douleurs ou même des blessures.
Le problème est qu’elles n’ont justement pas tout à fait tort de s’inquiéter. Toutefois, ce genre d’inconvénients peut être facilement évité. Il suffit d’être doux et à l’écoute du corps de votre partenaire pendant l’acte.
Que faut-il faire pour amener les femmes à céder à la sodomie ?
Comme pour tout argumentaire, il vous faut avoir un plan infaillible et des arguments solides. Bien entendu, vous devez suivre des étapes bien coordonnées pour que la mise en application de votre plan soit une réussite.
Abordez pacifiquement le sujet
Avant toute tentative brusque, vous devez au préalable bien préparer le terrain. Il s’agit d’aborder le sujet avec votre partenaire au cours d’une discussion calme et constructive. Si vous souhaitez le faire, vous devez attendre le bon moment.
Dans le cas où votre approche ne serait pas bonne, vous n’obtiendrez aucun résultat positif. Vous pouvez par exemple profiter d’un moment où elle est plutôt joyeuse pour insérer le sujet. Vous devez ensuite faire attention à la manière dont elle réagit à votre question. Si cette dernière est la cause d’un changement drastique d’humeur, il vaut mieux ne pas trop insister la première fois.
Pareil si elle vous présente un refus catégorique. N’insistez réellement pas, vous aurez une meilleure occasion pour ramener le sujet sur la table des discussions.
Revenez à la charge au meilleur moment
Si votre première tentative s’est soldée par un échec, ce n’est pas pour autant une raison suffisante pour abandonner. Vous pouvez patienter et profiter d’une nouvelle occasion pour faire votre proposition. Cette fois-ci, faites votre demande au cours d’un de vos rapports.
L’idée est très simple : il s’agit de profiter du fait que votre partenaire soit déjà suffisamment excitée pour faire part de votre proposition. Vous pouvez par exemple suggérer de tenter une nouvelle expérience.
Si les préliminaires sont bien réalisés, il y a de fortes chances qu’elle s’ouvre à vous au moins rien que pour essayer. À vous alors de trouver les bons mots et de la pénétrer en douceur pour faire disparaître tous les différents préjugés qui sont autour de la sodomie.
Quels sont les arguments à utiliser pour convaincre plus facilement ?
Trouver les bons mots pour convaincre une femme de se laisser tenter par la pénétration anale est plus facile à dire qu’à faire. Si vous savez qu’une improvisation serait perdue d’avance, l’idéal est de vous préparer suffisamment et de connaître les meilleurs arguments à avancer.
Sortez la carte du rapprochement plus intime
Contrairement à ce que pense la majorité des hommes, faire plier une femme n’est ni une question de force et d’autorité ni une mission impossible. Tout dépend de la manière dont vous vous y prenez. L’une des techniques les plus efficaces est de lui faire part du bien-fondé de la sodomie.
Cela peut paraître invraisemblable, mais la pénétration anale est en réalité bien plus intime que celle vaginale. En effet, l’anus est considéré comme cet orifice privé auquel personne n’a vraiment accès. D’ailleurs, vous ne pouvez pas voir le vôtre. Certains considèrent donc qu’il est plus intime que le vagin.
De ce fait, si vous comptez exprimer votre désir de tenter l’anal avec votre partenaire, faites-lui comprendre qu’il s’agit en réalité de vous rapprocher un peu plus d’elle. Après cette expérience, il n’y aura donc plus aucune barrière d’intimité entre elle et vous. C’est donc l’un des arguments les plus efficaces.
Parlez du plaisir que procure une pénétration anale
Vous devez savoir que les femmes aiment non seulement se faire désirer, mais aussi faire plaisir à leur homme. Vous avez donc la possibilité d’utiliser ces deux éléments en votre faveur. Pour ce qui est de se faire désirer, il vous suffit d’exprimer verbalement et pendant l’acte sexuel bien sûr que vous avez une très grande envie de tester l’anal avec elle.
De même, en vous exprimant de la sorte, votre partenaire sera sûrement traversée par l’idée de vous faire plaisir. Même si elle se montrait réticente au départ, l’envie de vous combler de satisfaction prendra le dessus et la poussera à se laisser tenter. Encore une fois, il vous revient d’être le plus doux possible si vous ne voulez pas que cette fois soit la première et la dernière.
Ce qu’il ne faut surtout pas faire
Enfin, il faut que vous sachiez qu’il y a certaines pratiques à éviter absolument pendant votre tentative. Il s’agit du chantage. Même si votre partenaire n’est pas très enchantée à l’idée de se faire prendre par-derrière, évitez de la menacer ou de lui faire du chantage pendant que vous tentez de la convaincre. Cette approche ne marchera sûrement pas et aura au contraire tendance à la repousser encore plus.
Mon conseil pour la sodomie !
Il existe des hommes civilisés et tendres avec qui vous pourrez engager le dialogue aussi hasardeux de vos envies, vos limites et vos appréhensions. Votre plaisir aura une importance autant que d’en prendre. Si, si, ça existe !
Les limites bougent avec le temps. Vos besoins à 20 ans seront différents à 40 et 60 ans.
Gardez l’esprit ouvert !
Pour celles que la curiosité titille, tentez l’expérience en plusieurs étapes.
On n’arrive pas à la sodomie, juste parce que l’on veut savoir ce que cela peut faire.
Ou rentrer dans une espèce de banalisation parce que tout le monde en parle, le fait et qu’Annah le recommande dans la liste des délices. Réfléchissez bien.
Essayez d’accorder les besoins de votre corps et votre esprit.
Dites-vous bien que votre peur d’avoir mal est déjà le premier barrage vers l’accès au plaisir.
Il vous faudra très certainement plusieurs essais infructueux si vous aller trop vite !
> La douleur que vous pouvez imaginer ressentir va amplifier les sensations agréables ou non au moment de la pénétration.
> Je vous assure que si vous êtes bien préparé cela n’est absolument pas douloureux.
Pour cela, il faut discuter pour faire baisser cette peur.
Étape 1 : Exercez-vous seul.e
Évidemment, on est toujours moins stimulé seule surtout si le fantasme ne germe pas. On se retrouve très vite face à une situation un peu incongrue. Vous seule à quatre pattes entrain de vous toucher la rondelle, vous visualisez ? Pas très fun, tout cela !
Pourtant, comme pour la masturbation, c’est une étape importante pour se comprendre.
Prendre conscience de ses sensations, de l’ouverture qui se fait dès que vous appuyez à l’entrée, les muscles externes qui se détendent sous vos doigts.
> Vous engagez un dialogue muet entre vous et votre corps
Quand l’étape est franchie, vous vous apercevrez très vite que vous avez fait tout un monde de pas grand-chose.
Etape 2 : Trouver la bonne personne
Demander à votre partenaire de vous masser cet endroit sans vraiment rentrer mais déjà pour prendre contact. Vous toucher, glisser dans l’intimité de l’autre, est une caresse que certains acceptent de faire plus facilement. Cela dépend du rapport que l’on entretient avec son propre corps, son éducation, sa connaissance en sexualité, son ouverture d’esprit.
Autre astuce:
Avant de passer à l’introduction, testez plusieurs lubrifiants qui ne vous irritent pas.
Pour ma part, TOUS les lub que j'utilise sont dans la sélection du site !
Etape 3 : La douceur et un doigt !
Ce que j’ai aimé avec mon mari puisque vous l’avez compris c’est à ses pieds que j’ai déposé ma confiance. Il m’a préparé avec un doigt, Oui et juste un et rien de plus. Étrange à comprendre !
C’est étonnant ce qu’un seul doigt est en mesure de vous procurer comme plaisir.
Une fois empalé sur son doigt, il est resté immobile.
Il m’a demandé une chose bizarre.
Il m’a demandé de bouger quand je serai prête et d’aller à mon rythme.
S’il subsistait une once d’utilisation de ma personne à son bénéfice, elle a volé en éclats. Puisque pour le moment, c’était moi qui utilisais son doigt à ma guise.
Nous avons pris notre temps.
J’ai dû m’arrêter un nombre incalculable de fois avant de m’apercevoir que je ralentissais les va-et-vient tellement j’y prenais du plaisir.
Les sensations qui montaient étaient indescriptibles. C’est un spasme beaucoup plus fort que celui de mon vagin. Je me souviens de ses premières fois car elles ont aussi marquées le débuts de mes premiers cris.
À l’époque, j’étais dans le contrôle. Passer à la sodomie a été un lâcher pris psychologique. Je me suis sentie libérée.
Aujourd’hui, bien entendu, nous le cumulons avec le massage du clitoris ou de mon vagin.
Ensuite, pour augmenter l’érotisation des moments à venir, il m’a offert une série de petits plugs et de bijoux anaux pour me préparer seule ou devant lui ou pour qu’il me prépare, selon l’envie. N’oubliez jamais que tout ceci est une parade amoureuse, on se regarde, on se touche, on se sent. C’est un jeu !
Quand on arrive à lâcher prise aux tabous sociaux, et déposer ses craintes, les plaisirs que vous pouvez obtenir de votre corps sont infinis.
J’ai appris aussi à ne pas avoir peur de son corps et à comprendre que moi aussi j’avais ma responsabilité dans son plaisir.
Je joue avec son anus, équipée de gods avec et sans ceinture.
Je m’adresse à ceux qui ont le complexe du petit zizi, utilisez vos doigts. Vous comprendrez que la taille n’a rien à voir dans le plaisir que vous êtes en mesure d’apporter à une femme, sauf peut-être les stars du X qui ont besoin de se faire défoncer pour simuler des cris de plaisir !!
Quoiqu’en disent les grenouilles de bénitiers, les gardiens de la morale et la bienséance, les donneurs de leçons sur la sexualité, moi, je ne boude pas ce plaisir.
Je ne viendrai pas alimenter leur moulin de frustration.
Le plaisir anal est une source de plaisir qui ne demande qu’à se déverser et vous procurer des orgasmes d’une intensité rare.
- Il faut bien intégrer la douceur des préliminaires pour préparer l’entrée
- Le massage des muscles internes et externes
- L’addition des plaisirs (devant derrière l’un après l’autre ou tous ensemble)
- La régression primaire (la violence des coups de butoir)
- L’érotisation de la mise en scène (la vue sur votre petit cul)
- La complicité du couple (vous entamez une autre phase de votre sexualité)
Pour continuer dans le thème de la lune, j’ai sur le grille, le test du Rosebud et la version dorcel geisha plug ruby ainsi que MR pink de chez fun factory.
À bientôt !
Pam ella.
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